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LE FRAME

Cinéma | Dans les salles en février 2018 - HURRICANE

  • Déborah
  • 24 févr. 2018
  • 3 min de lecture

Le réalisateur aux commandes du film n'est autre que Rob Cohen, à qui l'on doit deux gros cartons au box-office emmenés par Vin Diesel : Fast and Furious et XXX. Un cinéaste s'y connaissant donc en matière d'action comme en témoignent ces deux longs métrages. Le film catastrophe ne lui est pas non plus étranger puisqu'il avait réalisé Daylight (1996), dans lequel Sylvester Stallone tentait par tous les moyens de sauver des survivants coincés dans un tunnel après une violente explosion.

Date de sortie 28 février 2018

De Rob Cohen

Avec Toby Kebbell, Maggie Grace, Ryan Kwanten, Ralph Ineson, Melissa Bolona, Ben Cross, Jamie Andrew Cutler, Christion Contreras

Genre Action

Nationalité Américain (1h 45min)

Le film :

Profitant du plus gros ouragan ayant jamais touché les Etats-Unis, une équipe de braqueurs d’élite infiltre la plus grande réserve de billets des États-Unis. Leur objectif : un braquage exceptionnel de 600 millions de dollars. Dans la ville désertée, Casey, une des convoyeuses de fond, et Will, un météorologiste de génie, vont devoir unir leurs forces en utilisant les connaissances de Will pour survivre au milieu de cette « tempête du siècle » et empêcher ces voleurs impitoyables de parvenir à leurs fins.

Le tournage de Hurricane a débuté en Bulgarie le 29 août 2016 et duré 11 semaines, jusqu’au moment où les arbres de ce paysage à couper le souffle ont commencé à perdre leurs feuilles. C’est là que Rob Cohen et son équipe ont filmé la ville fictive de Gulfport, les courses-poursuites, les scènes de destruction et les fusillades acharnées qui s'y déroulent. Une fois les prises de vue en Bulgarie terminées, le tournage s’est poursuivi encore une semaine en Angleterre.

Comme le tournage sur fond vert était bien trop cher, Rob Cohen a opté pour une toute autre méthode quant à la création de ce paysage dévasté ultra-réaliste au milieu des collines pittoresque d’Europe. Le metteur en scène se rappelle : "Il y a environ un an et demi, j’ai lu un article dans American Cinematographer au sujet des avancées en matière d’écrans LED qui offrent aujourd’hui toutes sortes de fonctions différentes. Ils mesurent environ 30 cm sur 30 cm, et on peut en réunir plusieurs pour constituer un écran de la taille que l’on souhaite. On a envoyé une équipe à Fernandina en Floride pour effectuer des prises de vue, ou en tout cas tenter de composer un paysage typique du sud des États-Unis. Ensuite ça nous a permis de filmer de longues séquences de déplacements à bord de différents véhicules avec un paysage américain à l’extérieur, ce qui était impossible en Bulgarie où l’architecture est complètement différente : des toits en tuiles rouges, des bâtiments en stuc… Ça ne peut pas faire illusion. Il arrive qu’on trouve un ou deux endroits qui pourraient fonctionner, mais ça ne suffirait pas à recréer tout un paysage, il faudrait soit le construire de toutes pièces, soit avoir recours à notre méthode."

Le fourgon chasseur d’ouragans de 1000 CV et de 10 tonnes équipé de la navigation satellite dernier cri et d’équipement de survie haut de gamme a été conçu spécialement pour faire face aux ouragans. Si, dans le film, le Dominator est un véhicule particulièrement impressionnant, en réalité, c’est un chef-d’oeuvre d’effets spéciaux mécaniques. Des maquettes fonctionnelles ont été élaborées à l’aide du dernier logiciel de conception assistée par ordinateur et montées à partir de pièces imprimées en 3D par des mécaniciens chevronnés. Puis, le Dominator a été équipé de tous les écrans, boutons, radios et câbles nécessaires pour surveiller un ouragan de force 5.

Tout comme Rob Cohen, le chef-opérateur Shelly Johnson a déjà été témoin d’un ouragan comme il s'en rappelle : "On m’a envoyé en Floride au moment où l’ouragan Matthew approchait, si bien que je me suis retrouvé à seulement quelques kilomètres de l’oeil du cyclone. Dès le début, Rob nous a dit qu’il voulait placer la caméra au coeur de la tempête, pour que les spectateurs puissent se rendre compte de ce que ça fait de se retrouver balayé par des vents de plus de 150 km/h. Par exemple, pour la première scène où les personnages trouvent refuge dans une ferme, il nous a dit : "Je veux ressentir la vitesse de la voiture, toute l’intensité de leur fuite. Du coup, il faut tourner caméra à l’épaule.""

Rob Cohen et son équipe ont eu besoin de beaucoup de déchets pour rendre plus crédibles les scènes se déroulant dans les rues après le passage de l'ouragan. L’équipe a alors contacté les instances municipales de la ville de Gulfport afin qu’elles leur mettent de côté de grandes quantités de déchets naturels. D' Énormes ballots de déchets ménagers ont ainsi été stockés ; l'équipe les a ensuite fait flotter dans les rues pour une impression de ville abandonnée à la hâte. Bien entendu, tout a été nettoyé par la suite.

Voici la bande annonce de ce film :


 
 
 

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